Une fois assis dans la salle d’attente, on ne s’attend pas à rentrer si violemment dans l’ambiance. L’introduction est intense et pose immédiatement les bases de l’univers du Protocole. Elle est néanmoins à déconseiller aux âmes les plus sensibles.
Dans l’asile, les décors sont très recherchés. Tout à l’air désaffecté et même complètement déshumanisé. Les murs suintent l’horreur et la tragédie des lieux explorés. Seul bémol : nous avons assez vite repéré la porte finale de sortie et n’étions pas aussi surpris qu’il l’aurait fallu.