Plongés dans le rêve de Mathilda, nous arpentons les couloirs d’un pensionnat inquiétant des années 60. Ces derniers sont déserts. Reste seulement les affaires de ses jeunes élèves. Dehors, l’orage qui gronde se fait menaçant. La mise en scène joue très bien la carte du polar, flash lumineux et effets sonores à l’appui. Ajoutez à cela l’importante superficie des lieux, tout est réuni pour vous transporter dans le subconscient de la jeune fille.