The End : plus qu’un escape game, une expérience . Ce slogan aguicheur auquel DarkPark a recours sur son site internet correspond pourtant parfaitement à ce que vous vous apprêtez à vivre.
Effets spéciaux futuristes, éclairages ultra-travaillées, bruitages en cascade : tous les curseurs de l’immersion ont été poussé à leur maximum. L’apogée étant ce twist final pétrifiant mais grandiose car il fait de vous les personnages principaux d’un film.
C’est très simple, The End est l’une des seules salles à nous avoir autant déconnecté de la réalité. Sa narration maîtrisée de bout en bout ne souffre d’aucun temps mort. Un rythme haletant qu’on doit certainement à une collaboration fructueuse avec les créateurs de la série à succès Westworld.
Enfin soulignons l’ambiance pesante ressentie dès le début de la partie. Preuve que le glauque est redoutablement plus efficace que le gore pour susciter l’effroi. Il n’y avait pas d’entrée en matière meilleure que celle-là, on ne peut plus réaliste et réservée à un public averti. Quelle contraste par rapport à la suite, si orageuse…