Eh non Victoria Silvstedt ne sera pas là, en personne, dans les loges, en train de peaufiner son body painting.
Donc qu’on se rassure, ou qu’on pleure suivant son degré d’intérêt pour la sus-nommée : on est bien dans un escape game tout ce qu’il y a de plus normal, et non pas – pour rassurer les plus puritains – dans un lieu perfide de débauche, noyé sous une avalanche de clin d’oeil au mauvais goût.
Coté immersion, on pourrait trouver facile de prendre quelques apparats un peu clichés pour évoquer l’univers du cabaret, mais il faut bien passer par là.
Le point marquant c’est la bande son, très travaillée, qui rend hommage au contexte que le GM vous explique, et qui ensuite vous met dans l’ambiance très réussie d’une mission délicate de haut vol.
Le décor n’a rien d’exceptionnel en soi, mais l’ambiance générale fonctionne à merveille.