On rentre dans les habits de moine, très facilement. D’abord, au sens littéral du terme. Ensuite, par l’intermédiaire de l’ambiance lugubre de la chapelle : de ses vitraux luminescents à ses nombreuses bibliothèques. On regrette que certaines d’entre elles soient factices. En toile sonore d’accompagnement, des voix d’outre-tombe. Un choix peut être un poil trop glauque pour un monastère.