Dans la lignée du premier volet en VR

Nous n’avions pas su trouver les mots pour décrire l’expérience vécue dans le premier tome : Assassin’s Creed : Escape The Lost Pyramid. Les créateurs d’Ubisoft ont su recycler les prouesses techniques du premier scénario en les poussant encore plus loin. Si c’est votre première fois en réalité virtuelle, n’ayez crainte, vous n’aurez aucune difficulté pour comprendre les énigmes et le scénario.

Des graphismes poétiques

À la pyramide du premier jeu, se substituent ici les vestiges d’une Grèce Antique fascinante. Les décors sont d’une plastique merveilleuse et s’animent quand on ne s’y attend pas. Nous avons particulièrement apprécié la fluidité du jeu. Pas d’écran noir entre les salles mais des cinématiques interactives. Dans ces dernières, on ne peut que faire des 360 sur nous-mêmes et crier « whaou ». Alors quand la méduse approche, ne paniquez pas, ne retirez pas votre casque : il s’agit bel et bien d’un escape game en réalité virtuelle !

Une excellente jouabilité

Les mouvements fluides de votre avatar vous permettent de saisir une multitude d’objets. Pour vous déplacer dans Beyond Medusa’s Gate, c’est le système de téléportation qui est utilisé, même si on préfère les « box » dédiés à la VR. Les avatars sont personnalisables à souhait au début de l’aventure. Heureusement, notre GM a jugé utile de nous interrompre à temps avant que des joueurs ne repartent avec la garde robe toute entière.

Enfin, il s’agit du plus long escape game en réalité virtuelle que nous ayons joué. La diversité des salles est impressionnante. On serait même restés un quart d’heure de plus…

L’un des meilleurs escape games en réalité virtuelle que nous ayons pu tester à ce jour. S’allier à Ubisoft et miser sur une license forte était le combo gagnant.